La chanteuse s’offre le luxe canaille de conclure par une chanson, le « Tango stupéfiant », immortalisé en 1936 par Marie Dubas, où sa diction incisive et son talent de comédienne font merveille. Tout au long de ce disque, on admire une voix aux notes graves d’une densité rares, qui justifient pleinement l’appellation de contralto.
Le tango stupéfiant
Mon dieu
Les blouses blanches
Mon Dieu
I’m a stranger here myself